BIO 17 - Biome Biopôle, Épalinges VD
Jahre | 2017 |
Grösse | L |
Client | Biopôle SA |
Kosten | 20 Mio. CHF |
Architekt | IPAS Architectes et Planificateurs SA |
Typologien | Administration |
Zusammenarbeit | 2M Ingénierie Civile SA, Betelec SA, TP AG, Sorane SA, HSE Conseils, AB Ingénieurs SA |
Status | Projekt |
Kommission | Concours |
© Visualisierung | Dunedin Arts AG |
Team | Egger MichelOtt EricDesaules MichaelMartinez DavidThiébaud Romain |
Standort | Épalinges VD |
Information
Programm:
Bâtiment administratif comprenant une salle de réunion, des surfaces de bureaux, des laboratoires, des surfaces de stockage et des surfaces communes. Aménagements extérieurs.Beschreibung:
Implantation: Le bâti présent sur le site se caractérise par des objets isolés, des supports de matérialités tactiles qui créent une rupture brutale entre intérieur et extérieur ; aussi les bâtiments présents sur le campus transmettent un sentiment d’inaccessibilité. Le bâtiment est perpendiculaire à la pente, entre deux bâtiments du campus déjà réalisés. A cet endroit il fait la transition entre le ‘pré-topographique’ et ‘l’esplanade de Boveresse’. Cet emplacement relie et articule les différences topographiques mais aussi les typologies d’espaces extérieurs dictés par le PAC. Architecture: Le bâtiment est considéré comme un organisme vivant, un espace de transition entre les différents lieux, une invitation à s’approprier le campus. Il s’agit pour nous d’entrelacer les vies, les lieux, les temporalités, d’associer dehors-dedans et casser le front de façade symbole de rupture de l’homme avec la nature et le lieu, de créer une union sympathique avec l’environnement qui manque cruellement d’unité comme une quête contre l’antisocial. L’architecture est pensée de manière à émerger du sol avec l’évidence d’un matériau issu du milieu naturel. L’architectonique est construite de manière poétique, elle articule les différents matériaux et composants du projet en dialoguant avec son milieu naturel. Ainsi colonne et plate-forme soutiennent l’image désirée ; parfois dehors, parfois dedans elles mettent en perspective la nature, deviennent partie intégrante du paysage. La façade explore la diversité, l’aspect incontrôlable de la nature comme un modèle de liberté. La nature devient la référence, elle sert à penser son aspect architectural, à lui donner vie. Aussi le bâtiment cherche une symbiose entre son dessin tout de profondeur, d’aléatoire et la temporalité de la nature.